Paris s’électrise avec le Dream Nation Festival
Les 20, 21 et 22 septembre 2019, le Dream Nation Festival s’apprête à battre son plein de musiques électroniques et de festivaliers branchés sur les courants techno, trance, bass music et hard beat. Pendant trois jours, soixante artistes vont se mesurer à huit scènes différentes aux Docks de Paris.
D’abord, on entend l’écho des basses qui, à l’intérieur, tapent sur les murs et ricochent. Puis on entre et la musique vous enveloppe, électrisée par les jeux de lumière et la scénographie, laquelle fait gloire aux codes et à la culture électro. Bienvenu aux Docks, le lieu qui accueille les 18 500 festivaliers de la 6e édition du Dream Nation! Et du rêve, le festival vous en vend avec une programmation de pointe réunissant les meilleurs DJs français et internationaux.
Le festival se décline en trois jours, du 20 au 22 septembre, dans trois salles différentes et 8 scènes au décorum électro affirmé. Cela commence en douceur le vendredi au Dock Eiffel avec la soirée d’ouverture de 22h30 jusqu’au petit matin, à 7 heures. Dans cette warehouse en pierre et métal de plus de 1600 m², très raccord avec l’esprit de Dream Nation, huit artistes viendront cuisiner une techno acid pour le plaisir des papilles musicales des spectateurs : Randomer, Clouds, Raffaelle Attanasio, Remco Beekwilder, Regal, Alien Rain, Illnurse et Parfait.
Le samedi, l’ambiance augmente de plusieurs crans avec quatre dancefloors progressive à psytrance, dubstep à drum&bass, hardstyle à hardcore ou encore electro à techno, tous soutenus par des projections vidéos et une scénographie immersive qui s’adapte à chaque univers. Lady Dammage, 12th Planet, Major7, Zadig, X-Pander, Black Sun Empire, Mad Maxx ou Keith Carnal font partie des DJs présents cette nuit-là pour offrir des performances inoubliables au public. Sur ou autour des scènes, les yeux et oreilles des festivaliers n’auront pas de repos avec des déambulations d’échassiers, de performers de feu, de danseurs, d’acrobates, de jongleurs. Chacun dans son art circassien, ils créeront des tableaux vivants illustrant les musiques jouées sur les dancefloors.
Le dimanche, le festival se clôt en beauté de 7h à 14h dans une ancienne gare à charbon désaffectée, la Gare des Mines. Ici, trois scènes accueillent un programme concocté par trois collectifs. La Quarantaine est partie sur des notes de techno acid avec Balagan (Signal Space), EKLPX, Sana+Nasa et D44. AzTechno s’est lancé dans uen programmation trance avec Alka X, Low Scientist, Indiana Stones, Newcomer, Nikita, Master Munch et Miska. Et pour finir, The Bass Society a opté pour de la bass music avec Absurd, Background, Nixus, Fechos, Soft Matter, La Dub War Squad et Jacques Jaguar. A 14h, tout s’arrête mais ne soyez pas triste, Dream Nation Festival rempile l’année prochaine.
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